Métro, Tram, Bus, Train, partout

Jeune ou vieux, beau ou moins beau, en marchant… Quand on aime la Ville, on aime les gens. La multitude, la variété : jeunes, vieux, vifs, usés, grands, petits, humbles, opulents, attirants, indifférents, curieux…

C’est encore tout un univers à dessiner. Toujours l’envie, le nouveau motif. Dessiner dans la Ville, c’est prendre ses différents moyens de transport, c’est à chaque station, chaque halte, dans les salles d’attentes aussi, les administrations, sortir son petit carnet, et au lieu d’attendre passivement, se laisser aller à la méditation du visible et de l’humain qui m’entoure. La foule, les gens, ne sont pas les mêmes vraiment en bus, en tram, dans la rue, ou quand ils attendent la pizza, ou au guichet d’une administration, quoique.

Les gens sont bien toujours les mêmes. Mais dans le bus par exemple, l’installation, la scène change. Le dessin est alors autre, la position, les trépidations de la route, la luminosité, le relatif confort, tout ça fait aussi le dessin, lui donne une touche, une manière propre.

Je ne sais pas vraiment pourquoi tout ce bavardage, enfin si je sais… cette machine, cette chose qui nous vampirise, veut plus de mots… je pourrais moi sans problème ne mettre que des images…

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